A quoi reconnaît-on un lâche ? A son incapacité maladive à assumer ses faits et gestes. A sa capacité à profiter de la confusion (au rugby, ça s’appelle la mêlée), pour donner des coups en-dessous de la ceinture. Dans la nature sauvage, la hyène symbolise la lâcheté. C’est un animal nocturne, qui chasse en horde (bande), se nourrit des restes des lions et autres grands carnassiers. La hyène est un concentré d’anti-valeurs. Elle est l’image même de la laideur intérieure. La représentation parfaite de l’ignominie.
La fusion ECAM-GICAM attire toutes sortes de personnes dont les agissements nous rappellent le comportement des hyènes de nos steppes et savanes. Leur dernière trouvaille est une « dénonciation » aux autorités françaises portant sur un conflit d’intérêt sorti de leur imagination perverse. Ils croient pouvoir salir le président du GICAM et ainsi, torpiller le processus de fusion qu’ils n’arrivent pas à empêcher.
Après avoir inondé les journaux et harcelé les plateaux de télévision, ils encombrent désormais les parquets des tribunaux avec des assignations fantaisistes et loufoques ou des dénonciations diffamatoires. Leur torchon est lâchement signé d’un certain Jules Mandengue, qui n’existe nulle part, ni en France ni au Cameroun. Emmanuel Wafo, Joel Sinkam, venez le jour. Attaquez de front. Battez-vous à la loyale. Ainsi, vous serez un jour dignes de diriger le GICAM.