Alternance au sommet de l’État, la cabale contre certaines personnalités dans les réseaux sociaux et médias radio/télé dessine les enjeux. Éliminer ceux qui sont soupçonnés d’être de potentiels adversaires redoutables, c’est ce que l’on observe depuis un moment avec l’alliance entre les extrémités radicaux de l’opposition et ceux du régime RDPC contre Samuel Eto’o. Depuis son arrivée à la tête de la Fédération Camerounaise de Football, Samuel Eto’o est la cible principale des communicants extrémistes de l’opposition et du parti au pouvoir. Ils ont cru pouvoir se servir de Yannick Noah vainqueur de Roland Garros pour casser la popularité de Samuel Eto’o. Aujourd’hui c’est André Onana qui est instrumentalisé par ces incultes qui semblent ignorer le passage de Samuel Eto’o et de José Mourinho à l’Inter de Milan.
Malgré les multiples sorties de Samuel Eto’o rappelant ses ambitions aux antipodes avec la politiques, les réseaux actifs pour la succession du président Biya restent sceptiques. Une probable candidature de Samuel Eto’o à la présidence serait un casse-tête pour ceux-là qui manœuvres en sous-marin pour une succession du président par son fils Franck Biya.
Entre mensonges, calomnies, diffamations, tous les moyens sont mis à contributions pour détruire l’image de Samuel Eto’o, y compris saboter son projet pour le football camerounais en le faisant passer pour un incompétent. L’acharnement des journalistes à gages, principalement Boris Bertolt, les politiciens et universitaires dans les plateaux télés contre Samuel Eto’o contraste avec l’attitude des acteurs principaux du football qui célèbrent leur président.
Aucun des détracteurs de Samuel Eto’o n’a jamais commenté le bilan de son année à la tête du football Camerounais, un football qui était à l’agonie, où le président de la fédération pouvait dire à un club en début du championnat qu’il fera tout pour le renvoyer en D2, le cas Iya et Bamboutos.