Il s’agite comme un diable dans sa boîte. Il se prend pour un prescripteur d’opinions alors qu’il ne fait plus illusion. Oh si ! Il trompe encore ses petits amis haineux du MRC. Ceux qui ont pris pour cible Samuel Eto’o, l’homme qui gouverne le Cameroun depuis 40 ans et qui empêche Maurice Kamto de prendre le pouvoir. Le reste du Cameroun sait pourtant qui est Boris Bertolt. Il se prétend « Influenceur », mais n’a rien à voir avec cette noble vocation. Ce n’est qu’un personnage sans foi ni loi, qui travaille pour le clan qui a cornaqué le contrat du Coq Sportif avec le ministre des Sport. Pourquoi croyez-vous qu’il soit au bord de l’hystérie ?
C’est un médiocre qui se grise de son pouvoir imaginaire ; un haineux qui prend sa revanche sur la vie. Il se proclame partisan de Maurice Kamto mais en réalité, il n’a aucune fidélité. Ce jeune homme se vend au plus offrant. Sa plume n’a qu’un maître : L’argent. Celui qu’il extorque aux malheureux qui ont un scandale à cacher. Celui qu’il se fait payer par les clans en lutte pour le pouvoir à Yaoundé. Vas-y, salis untel. Vas-y, attaque ! L’argent, il en prend chez Samuel Mvondo Ayolo (donc chez Frank Biya) à qui il a demandé de lui acheter une maison à Londres ; il en prend chez Motaze et d’autres ministre quand il faut payer quelques dépenses pressantes au pays.
Pis, c’est un collaborateur de la Sécurité militaire, le plus brutal des services de sécurité de notre « démocratie avancée ». Avez-vous écouté cet enregistrement ? Pauvre Maurice Kamto ! Son biographe est une barbouze ! https://www.youtube.com/watch?v=tFGe3VVscgk
C’est connu, les services spéciaux aiment manipuler les journalistes et autres « Influenceurs » cupides. Faut-il que le journalisme soit tombé si bas qu’un tel distributeur automatique de fautes d’orthographe, de grammaire et de syntaxe ait pu franchir la porte des quotidiens Mutations et Le Jour au point de se prétendre ancien journaliste ! Faut-il que notre pays soit tombé si bas qu’un maitre-chanteur arrogant mais inculte, bardé de diplômes mais illettré traîne le débat public dans la boue de la médisance et de la malveillance. Nous connaissons ses rabatteurs. Ceux qui passent après lui pour récupérer l’argent que ses victimes paient pour ne plus subir son harcèlement.
Je lance ici un appel solennel : Que ceux qui ont un jour payé ce maître-chanteur aient enfin le courage de le dénoncer. Ils feront ainsi œuvre de salubrité publique. Que ceux qui ont payé des millions pour qu’il arrête son harcèlement osent enfin parler.
L’œuvre malfaisante de ce personnage est une défaite pour l’éducation de ce pays. Se taire et le laisser continuer impunément, sous les applaudissements de ses amis du MRC est une défaite pour la démocratie.
Gabriel Ondoua
Informaticien
Président du comité de vigilance citoyen camerounais USA